Internat Kyari

Internat Kyari V.3



Bouton


Synopsis
Bienvenue dans l’Internat Kyari, une communauté accueillant des hommes dont leurs origines possèdent encore aujourd’hui des secrets encore jamais découvertes. Cette pension existe depuis la fin de la seconde Guerre Mondiale au Japon, après le 2 Septembre 1945, jour de capitulation, soit l’abandon du combat. Cet établissement fut l’un des derniers bâtiments encore « vivants » peu après cette Guerre atroce. Quelques mois plus tard, le chef de la famille Atsuki, peu connue chez les hommes, décida d’ouvrir une école à partir du terrain de ce bâtiment. Il n’y avait pas vraiment une raison derrière cela, si ce n’est commémorer l’ancienne gloire du Japon. Dans ce terrain vide, il créa un pavillon gigantesque, permettant d’accueillir un grand nombre d’élèves.

Cependant voilà, même si la famille Atsuki était très peu connue dans le monde des humains, il n’en était pas moins que c’était en réalité une puissante mafia asiatique, résidant dans les sous-sols du pays du Soleil Levant. On pourrait les confondre avec des Vampires, craintifs de la lumière, mais ils étaient en fait des Démons chassés du Paradis, forcés à vivre dans les bas-fonds de la Terre. Et cet homme, qui a décidé de faire un édifice pour accueillir des étudiants, n’allaient pas accueillir que des humains, mais des créatures de toutes races. De plus, il a nommé sa fille aînée, Yurika, directrice de cette école. Les Démons sont des créatures immortelles, qui ne connaîtront plus jamais la mort comme le connaissent les humains. Ils sont proches de la Mort en personne, mais rejeté des Anges & des Archanges pour ce lien maudit.

Depuis, l’école accueille sans cesse des élèves, plus nouveaux l’un que les autres, restant pour un maximum de trois ans d’étude, comme un humain quelconque. Une règle d’or leur est imposée, l’interdiction de se dévoiler sous une forme autre qu’humaine auprès d’un autre humain. En effet, sans le savoir, des hommes, plus que normaux, entrent dans cette pension et en ressortent sans se douter qu’ils ont pu côtoyer des monstres auprès d’eux.