Le danger est l'attirance! [PV Waruko <3]

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Une explosion de lumière émeraude, pourpre, et améthyste qui partait de la petite ours jusqu'à la grande ours formait une glorieuse aurore visible par les yeux du lycéen qui venait d'intégrer récemment ce lieu qui lui offrait un spectacle assez magnifique en guise de bienvenue. Le spectacle que lui offrait les brumes transitoires de la galaxie montrait l'immense puissance des vents solaires, qui semblait déchirer la voute céleste en deux parties, comme si le ciel était orné de frontière. Les yeux rivés sur cette merveille de la nature, Maki regardait le spectacle avec entrain et bonheur, car une brise légère souffla sur son visage, pour lui donner de la fraicheur que le climat torride estival était incapable de lui procurer, donc il resta allongé dans l'espace zen en se contentant de cette vue, fermant les yeux pour entrer dans un sommeil profond avant de sentir une odeur de souffre inquiétante, donc il se releva avec entrain, et marcha jusqu'à la source de cette odeur si curieuse, donc il prit un sac, et glissa la poussière à l'intérieur. Avec une certaine envie, il décida de sortir dehors en prenant soin de fermer la porte pour éviter que des gens profitent de son absence pour se livrer à des ébats sexuels, et continua sa marche d'un pas rapide pour se diriger dans sa chambre afin de déposer cette découverte qu'il confierait à des scientifiques.

Il poursuivit sa marche dans le gravier, qui donna le bruissement sonore des cailloux qui se frottaient l'un contre les autres suite aux remous que déclenchait ses pas puis ouvrit la porte dans un cliquettement métallique, en tournant quatre fois sa clef dans la porte, afin d'entrer et déposer le mystérieux sac, et cette poussière à la couleur si changeante car pendant le voyage, les mystérieux atomes étaient passé de couleur orangés, à azur, puis violet, ce qui intriguait le jeune homme qui n'avait jamais vu ça dans sa vie, donc il ferma sa porte, dévala les escaliers d'un air guilleret et se décida à revenir dans le lieu où l'endroit où il pouvait se relaxer en remarquant que la porte en bois sculpté était ouverte, ce qui l'inquiétait car il se souvenait l'avoir fermé, donc il monta silencieusement les marches de l'escalier métallique et jeta un regard dans la pièce qui semblait vide, excepté un regard bleuté, donc il entra totalement en fixant la beauté de ce regard, et remarqua que ce regard si beau appartenait à une adolescente habillée d'une robe ornée d'un beau décolleté, à l'apparence très soignée, donc il s'agenouilla devant elle avec un regard amoureux, et continua de la fixer en lui demandant tout simplement:

« Comment se nomme un visage si beau mademoiselle! Je me doute qu'un corps pareil doit certainement appartenir à quelqu'un, mais j'aimerai beaucoup faire connaissance avec vous... »

Doucement, avec plein de tendresse, il s'approcha d'elle et s'empara de sa main qu'il embrassa avec passion, avant de revenir agenouillé devant cet être qui semblait représenter parfaitement la grâce et élégance, sans se douter que derrière cette apparence si magique, se cachait un monstre qui n'attendait que d'un homme pour avoir un repas...

**o° Vampire °o** Nombre de messages : 7 Age : 32 Inscription : 07/07/2009

Une fois encore, c'était sous le ton de la banalité que Waruko s'était levée. Elle s'était tirée silencieusement hors de sa chambre, en prenant soin de ne pas réveiller la personne qui partageait sa chambre. Assez fatiguée par l'idée de se préparer dans les douches communes de l'établissement, elle s'était autorisée un peu petit plus en allant se faire chouchouter par l'espèce inférieure et incroyablement stupide qui était à ses pieds, aux pieds des Vampires. Enfin. Après un court moment passé, les cheveux bruns de la jeune femme étaient coiffés, ses yeux bleus maquillés, ses lèvres fines rougies ; et surtout... ses joues blafardes légèrement colorées.

Ainsi faite, elle enfila une robe en satin noire qu'elle aimait particulièrement -notamment parce qu'elle mettait nettement en avant ses attributs féminins de toute beauté- , des chaussures légèrement hautes, et une veste bon chic bon genre. Elle jeta un bref regard dans le miroir qui lui renvoyait son reflet, bien évidemment parfait. Sans même adresser un regard aux petites gens qui venaient de s'occuper d'elle, la jeune adulte s'engouffra à nouveau dans les escaliers, déambula dans les couloirs, faisant mine de saluer vivement quelques unes de ses anciennes conquêtes, quelques uns de ses amis... Mais sans plus. Aujourd'hui, ou plutôt, ce soir, une aurore boréale s'offrait en spectacle à qui daignait lever la tête vers le ciel.

L'enfant du démon se faufila dans les longs et tortueux couloirs de l'établissement jusqu'à déboucher dans une de ses ailes très fréquentées ; à savoir celle dénommée « l'espace zen ». Cette aile, contrairement aux autres espaces de l'école, était consacrée au bien être des différents étudiants : ainsi, çà et là s'offraient aux regards impudents des pièces de toute nature : petits parcs naturels, saunas, piscines, grande baies vitrées, salons de jeux, salles de repos.... . Un endroit bien singulier, en somme, où Waruko n'avait pas l'habitude de rester. Toutefois, cette soirée était bien différente. Elle descendit quelques marches, se fit ouvrir la porte par quelques humains admiratifs, et finalement, une fois dans la cours de cette partie de l'école, se glissa dans une espèce de parc. Oui, ce détour était un peu inutile, mais elle savait que si elle avait pris le risque de passer directement par le couloir B -qui menait dans la pièce où elle voulait se rendre, munie de grandes baies vitrées- elle aurait pu tomber sur des types détestables... Et, très étrangement, elle n'avait pas envie de se battre.

Elle poussa le portique métallique, et fit quelques pas dans les graviers. Ses talons ne s'enfonçaient même pas dans le sol... Comme quoi, être un vampire avait de nombreux avantages. Un soupir s'échappa finalement d'entre ses lèvres purpurines tandis qu'elle gravit les dernières marches qui la conduisaient à cette fameuse salle. Elle se glissa tout contre les baies vitrées et, de son regard azuré, parcourut le ciel aux éclats fantastiques. Des dégradés multiples, comme si un arc-en-ciel avait décidé de se faire excentrique en changeant de forme. La vue était simplement sublime, et pour une fois, l'enfant du démon se sentait bien, terriblement bien. Elle tourna légèrement la tête lorsqu'elle entendit des pas dans l'escalier, mais reporta très vite son attention sur le ciel animé par des couleurs somptueuses.

« Comment se nomme un visage si beau mademoiselle! Je me doute qu'un corps pareil doit certainement appartenir à quelqu'un, mais j'aimerai beaucoup faire connaissance avec vous... »

Waruko, dédaigneuse d'ordinaire, se retourna doucement, jusqu'à découvrir qui venait de lui adresser la parole. Elle fut quelque peut surprise lorsque ce fameux inconnu se glissa à ses pieds pour lui faire un baise-main. De telles manières étaient rares, et n'étaient pas tant à proscrire que le souhaitaient certains de ses compagnons. Elle haussa donc un sourcil, amusé, tandis qu'entre ses mains elle sentait battre les pulsations de vie du jeune homme. Très rapidement, et très discrètement surtout, notre vampire avait repéré les traits caractéristiques du personnage : des cheveux et des yeux noisettes, en parfait accord. Sa peau était pâle, mais... A côté de sa propre peau, le jeune homme semblait presque bronzé. Être marmoréenne avait quelques inconvénients de ce genre. Enfin, elle se demanda tout de même à quoi jouait cet énergumène pour venir tenter le diable d'aussi près. Il ne lui faudrait en effet pas beaucoup pour asservir l'importun à sa cause... Mais heureusement pour lui, la jeune femme aux yeux brillants était de bonne humeur. Ainsi, toute malicieuse, elle prit la parole.

« Le si beau visage pour lequel vous semblez être en admiration porte le nom de Waruko Shizumi. » commença-t-elle, mutine. Elle ne savait pas si sa popularité certaine avait franchi le cercle des Tytans pour venir s'immiscer dans le quotidien des humains, mais ça n'avait pas d'importance. « Puis-je à mon tour quémander qu'on lève le voile sur l'identité d'un jeune homme aussi galant que vous ? »

L'étrange et splendide créature offrit à son nouvel interlocuteur un sourire amical, tandis qu'elle l'invitait à se relever. Elle détourna rapidement son visage vers l'immense baie vitrer, pour contempler encore une fois cette harmonie dans les couleurs puis, finalement, daigna s'intéresser pleinement à l'humain qui avait osé lui adresser la parole. Elle remit une mèche des cheveux du jeune homme en place, ce qui lui permit au passage de relever que la simplicité avec laquelle il se vêtait n'était pas sans goût. Amusée, notre amie hocha doucement la tête.

« Ainsi, quel bon vent vous amène ici, jeune homme ? Êtes-vous venu, également, contempler ce spectacle que le ciel nous offre, ce soir ? Ou bien peut être vos intentions sont-elles différentes...? » Elle se laissa paresseusement tomber sur un ottomane en velours rouge, brodé de dentelle noire, et croisa ses longues jambes. Elle se savait parfaitement irrésistible, et pour cette raison ne perdait jamais une occasion de se dévoiler davantage. « Vous devez bien vous ennuyez, seul, pour vous promener comme ça en pleine soirée. Fais-je erreur ? »

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Si monsieur Kururugi avait su que la demoiselle au regard bleuté et au visage si angélique était une vampire, il ne se serait jamais approché d'elle. Car Maki n'éprouvait pas une phobie envers eux, mais il avait toujours peur de tomber sur un membre de cette espèce qui pouvait se révéler un peu trop amical, donc c'est avec un sourire amusé qu'il partit à la rencontre de la jeune femme, car on ne pouvait pas deviner que cette femme était une vampire, excepté le fait que sa peau soit pâle et qu'elle possédait un charme particulier qui pouvait attirer tout les hommes entre ses ongles. L'ombre posté à l'opposition du charmant lycéen tourna légèrement la tête pour savoir qui montait les marches du lieu, et reposa son regard sur le spectacle de couleur chaudes que lui offrait les étoiles éparpillées sur la voute ténébreuse. Il comprit qu'elle était venue pour le spectacle, et posa sa question pour faire croire qu'il était niais. Continuant à regarder la jeune femme après avoir posé un baiser rapide sur sa main, il vit que la jeune femme le fixait avec un regard amusé, ce qui le fit doucement sourire lui aussi, car il ne se doutait pas que des personnes aussi magnifiques se cachait dans les lieux du pensionnat. Ce qui rassura le jeune homme sur sa nature, fut la tendresse qui teintait son visage, comme si la notion de violence n'effleurerait jamais ses moindres pensées, donc il sourit en constatant discrètement des conclusions assez hâtives à priori.

Les manières de noble de Maki, avaient été inculqués par son père, qui lui avait appris comment on embrassait les mains des femmes raffinées, qui appréciait souvent ce comportement semblable à celui d'un gentleman. La malice était bien visible sur son visage, comme si sa présence l'amusait, ce qui le contentait très bien, car il trouvait cela convenable et souhaiter simplement passer du temps avec elle, afin de faire connaissance et espérer se lier d'amitié, ou bien tisser des liens amoureux très fort. Même si cela pouvait s'avérer impossible, il l'espérait de tout cœur, et sortirait tout les stratagèmes qu'il avait dans sa manche pour essayer de la draguer en l'abordant d'une manière très romantique. Le problème fut le fait qu'elle semblait avoir sentie ses pulsations cardiaques qui étaient irrégulières en la présence d'un tel corps, et sentit son organe qui commençait à lui faire mal, tellement que la cadence des pulsations cardiaques augmentaient d'une manière assez inquiétante. L'étudiant, sous le charme de la vampire l'écouta avec attention, et ne put s'empêcher de rire un peu quand elle lui rétorqua qu'il l'admirait, car c'était le cas et il put enfin apprendre son nom, Waruko. Waruko était un prénom assez inhabituel qui lui était familier, car il avait entendu des rumeurs sur elle dés e premier jour, donc il lui répondit avec une voix charmante.Une vague de plaisir commença à envahir son esprit, car elle s'intéressait à son prénom, grâce aux manières dont il avait fait preuve.

" J'ai déjà entendu votre prénom, douce dame dans les couloirs de l'école. Mon prénom est Kurugugi Maki, mais mes amis se contentent de m'appeler Maki..."

Un sourire amical se dessina sur ses lèvres ce qui lui fit plaisir, car le sourire fut provoqué par l'entente de sa présentation, donc il se releva en acceptant son invitation. Après lui avoir adressé la parole, et avoir fait les présentations, il ne put s'empêcher de détourner à nouveau son regard vers le spectacle qui commençait peu à peu se dissiper au gré des minutes qui défilaient dans le lieu. Contre toute attente, la belle vampire commença à offrir un premier contact en lui redressait un de ses cheveux qui était mal positionné, ce qui le gêna et le fit s'empourprer. Qu'il était bon de sentir la chaleur d'une femme aussi belle contre sa peau, même si ses mains laissaient échapper une froideur assez inquiétante, il comprit que cela venait de la fraicheur qui s'était installée sur sa peau pendant le voyage qui l'avait amenée ici. Elle la vit hocher doucement la tête, et la regarda avec stupéfaction allait s'asseoir avec beaucoup d'envie, car sa tenue lui donnait beaucoup d'envie, donc il la suivit et s'assit à son tour avec cette charmante compagnie, quelque peu effrayante. Malheureusement, elle croisa les jambes, ce qui ne manquait pas d'amplifier l'excitation que son corps ressentait, et cela lui donnait beaucoup moins de concentration, car il était de plus en plus difficile de se concentrer. Ce qui rendait cette adolescente si effrayante n'était pas le fait de son apparence extérieure, mais celle intérieure car elle arrivait toujours à frapper un grand coup dans son esprit. Il lui rétorqua non sans mal en balbutiant.

" J'étais venu pour apprécier le spectacle mais j'ai du partir de l'endroit, car j'ai récupérer une poudre mystérieuse qui peut changer de couleur. Si j'avais su qu'une si belle femme viendrait dans ce lieu, je serai rester et je vous aurais attendu. Non vous ne faites pas erreur mais je connais personne ici, ce qui est fort contraignant... Mais je vois que vous êtes seule vous aussi. Je ne comprends pas cette solitude dans laquelle vous êtes plongée alors que vous êtes si magnifique. S'il n'en tenait qu'à moi je..."

Doucement, il approcha son visage du sien pour se retrouver seulement à quelques millimètres du sien, et observa ses portes jarretelles qui l'excitaient autant, avant de revenir dans sa position initiale pour ne pas paraitre trop entreprenant...

**o° Vampire °o** Nombre de messages : 7 Age : 32 Inscription : 07/07/2009

Comme elle l'avait escompté, le mystérieux humain qui était venu lui adresser la parole, tout guilleret, l'avait rejoint sur le délicieux canapé en velours cramoisi. Réajustant distraitement les pans de sa robe satinée, Waruko écoutait d'une oreille plus ou moins attentive ce qu'on lui glissait au creux de l'oreille. Ainsi, on avait parlé d'elle parmi les humains. Restait à savoir si c'était en bien, ou en mal. Même si au fond, elle s'en fichait comme de l'an quarante. Elle tourna légèrement la tête, un léger sourire peint sur le visage, lorsqu'il lui dévoila son nom. Maki Kururugi, à en croire ses propos. Mais pourquoi ne pas le croire...? Vu comment c'était parti, il lui mangerait dans la main dans pas longtemps. La soirée promettait d'être amusante ! Restait à voir comment les choses évolueraient.

Elle braqua son regard aussi bleu que la nuit vers les baies vitrées, à travers lesquelles elle observa une dernière fois le panel rarissime de couleur qui se dévoilait alors aux yeux de toutes les espèces de cette planète. C'était la première fois que la demoiselle avait la chance d'assister à un spectacle pareil. Mais probablement pas la dernière. Avec toutes ces longues années qui s'annonçaient devant elle, elle pourrait très bien décider de devenir chasseuse d'aurore boréal, si elle le souhaitait. Elle haussa discrètement les épaules, comme pour répondre à ses propres pensées, puis se tourna à nouveau vers « Maki », puisque ce dernier prenait la parole. Pendant qu'il parlait, Waruko avait tout le temps de détailler les traits qui composaient son physique, ainsi découvrit-elle que ses lèvres finement dessinées étaient quelques peu charnues, que sa peau était sans imperfection -ce qui était plutôt rare chez les humains...-, et surtout que ses cheveux noisettes dégageaient de plaisantes effluves. Les autres aspects, peut être un perturbants de cette fortuite rencontre, était l'aspect humain vampire.

Et bien oui, si le jeune homme était d'une galanterie et d'une élégance rare, il n'empêchait pas qu'il était un humain, et qu'il était a priori troubler par ses propres charmes. Ainsi, lorsque les lèvres rondes du jeune homme tremblotaient quand il parlait, c'était un peu... dérangeant. Encore plus lorsqu'elle entendait les battements irréguliers de son corps, lorsqu'elle sentait l'odeur de chair humaine monter jusqu'à ses narines. Si elle n'était pas une jeune femme d'expérience et surtout de confiance, mais au contraire un simple vampire, il aurait été fort probable que le dénommé Maki ne soit plus de son monde. Juste une dépouille livide étendue sur le sol, vidée de son sang. Heureusement -pour Maki en tout cas- Waruko était un tytan respectable. Elle toussota légèrement, ancra son regard indigo dans celui pétillant de son « jeune ami ». Elle frémit lorsqu'il approcha son visage du sien, lorsqu'elle sentit son haleine titiller ses narines, lorsqu'elle entendait clairement son cœur vibrer.

L'enfant du démon fronça un peu les sourcils, fâchée, mais se reprit lentement. Pourquoi serait-ce plus dur de séduire un humain qu'un autre vampire...?

*Parce qu'il est de constitution fragile et qu'il risque de finir lacéré par tes longs ongles, ma belle*

La jeune femme approcha à son tour son visage lentement de l'oreille du jeune homme, jusqu'à ce que l'odeur qui émanait de ses cheveux lui soit terriblement forte, presque ecoeurante. Être un vampire avait de sacré inconvénients, comme par exemple ces perceptions sans cesse exacerbées. Elle soupira lentement, laissant son souffre courir sur la gorge peut être un peu trop dévoilée du jeune garçon. Elle inclina légèrement la tête, avala sa salive, et, d'une voix purement innocente, prit la parole.

« Et bien, vous me connaissez moi, maintenant » elle marqua un court arrêt, et, plus langoureusement, reprit. « Maki. »

Waruko écarta ensuite doucement son visage de l'oreille de sa nouvelle connaissance, détacha sans difficulté son regard inhumain de sa gorge attrayante pour lui adresser un sourire évocateur, peut être même un peu provocant. Waruko était de ce bord là, légèrement provocante, séduisante, manipulatrice... Mais parfois sincère. Elle appuya sa tête sur l'ottomane aussi rouge que le sang, puis, après avoir chastement posé ses mains sur ses cuisses, se demanda si son attitude lui paraissait naturelle. Après tout, elle n'avait pas besoin de respirer, ne ressentait pas outre mesure le chaud et le froid. Seul ce qui concernait le domaine des sens étaient démesuré, chez elle. Comme chez tout les autres vampires.

Par ailleurs, la jeune femme était intéressée par cette histoire de poudre « magique ». Mais probablement n'était-ce pas le moment d'en parler, n'est-ce pas...? Et puis, il y avait autre chose à élucider. A nouveau entreprenante -sans en avoir l'air, bien évidemment- le vampire qu'elle était se redressa, replia même une jambe contre son opulente poitrine. Sa robe en satin dévoila sa cuisse dans un bruissement sonore qui lui était tout aussi perceptible que l'irrégularité latente des battements du cœur de son compagnon de fortune peut être infortuné. Elle mena un doigt sur sa bouche rougie par le maquillage, et, l'air excessivement enfantine et songeuse, elle prit à nouveau la parole. Après avoir laissé échapper un gémissement d'hésitation, bien évidemment.

« Peut être vais-je vous paraître sotte, Maki, mais... Il y a quelque chose qui m'échappe. » Elle croisa à nouveau ses jambes, se pencha un peu plus dans sa direction. Elle sentait son odeur attractive, cette appel de la chair qui était incroyablement irrésistible. « Que vouliez-vous dire pas... « S'il n'en tenait qu'à moi ; je... »...? Je crains de ne pas avoir totalement saisit. »

Elle rapprocha encore un peu son visage de celui du frêle humain qui lui faisait fasse tandis que sa voix mélodieuse s'achevait dans un murmure soupirant. Elle se demanda, presque subitement, quel effet sa voix pouvait bien procurer à quelqu'un de parfaitement vivant. Etait-ce la même chose que lorsqu'elle sentait, entre ses doigts fins, battre la vie ? Ou comme lorsqu'elle sentait sa même vie jaillir dans sa bouche, couler le long de sa gorge jusqu'à réchauffer son corps aussi glacial que la neige..? Peut être pourrait-il lui répondre, si elle le lui demandait... Un jour.

Nombre de messages : 9 Age : 41 Inscription : 15/07/2009

L'extraordinaire beauté de son visage et la magnifique formation de son corps était bien réputée chez les humains qui était du genre à se masturber sur elle comme des salauds. Maki, lui, n'était pas du genre à se masturber sur la demoiselle, car il trouvait cela assez pervers, et il n'était pas du genre à être heureux en pensant à une fille. La merveilleuse apparition qui s'était dévoilée sous ses yeux, dans une robe aussi belle donnait des envies au jeune homme qui se demandait quoi faire, et comment faire pour aborder une femme si belle, que l'idée de l'aborder en plein jour aurait été impensable pour le gentleman qui cachait une certaine timidité. Vu comment évoluait les choses entre les deux protagonistes, cela était effectivement le cas car Maki vouait une attirance certaine envers elle qui dépassait celle de l'amitié. Puis, comme si le lycéen ne l'intéressait plus, elle tourna son regard azur foncé vers le spectacle éphémère qui n'était pas aussi beau que tout à l'heure. Après un haussement d'épaules de la jolie vampire, il put enfin avoir à nouveau de l'attention et la fixa, son regard marron crème dans le sien. Pendant qu'il prit la parole, il sentit le regard de la belle femme se poser sur tout les endroits de son visage, ainsi que celui de son corps, qui ne pouvait pas lui échapper, ce qui renforça sa crainte, mais aussi ses positions, car si elle le regardait de cette manière, cela voulait dire qu'elle était intéressée. Il décida de faire de même et remarqua que ses prunelles bleues foncées étaient magnifiques grâce aux cils noirs qui encadraient son regard, ainsi que ses lèvres fines, qui semblaient tellement douces que l'envie de les toucher se fit insoutenable.

Sa peau, semblait aussi douce que ses lèvres et donnait envie de caresser ses bras. Continuant à balader son regard sur un tel corps, il remarqua que la mignonne demoiselle avait une poitrine assez imposante, ainsi que des cuisses parfaites, qui étaient bien vêtus de bas, renforçant l'excitation de cette rencontre assez spéciale entre l'enfant des nuées ardentes de l'enfer et le pauvre adolescent qui cherchait à attirer l'attention. Elle lui rendit son regard en plongeant à son tour dans le sien en l'entendant se racler la gorge en toussant, puis remarqua les milliers de petite boule qui était hérissé sur sa peau, ce qui montrait un frémissement et était une réaction du plaisir, ou bien de la peur. Impressionné par une telle magnificence, il se laissa foudroyer du regard quand il la vit froncer des sourcils en guise de mécontentement et recula en se demandant s'il allait pas tout faire rater en agissant de cette manière et la joua distant, en prenant cette décision avant que le prochain geste de Waruko ne le fasse changer d'avis. Elle se rapprocha de lui de très prêt, ce qui le fit soupirer de plaisir, ainsi que transpirer quelques gouttes cristallines sur sa peau pêche. Il sentit un soupir de la jeune femme effleurer son cou, ce qui le fit tellement frémir d'excitation qu'une bosse se forma au niveau de son entrejambe, ce qui le fit s'empourprer grandement car elle insista sur son nom avec un ton si sulfureux que n'importe quelle homme aurait une érection en l'entendant. Il lui rétorqua en lui murmurant lui aussi à l'oreille qu'il mordilla faiblement avec ses lèvres:

" Peut être bien que je ne vous connais pas finalement, vu que je semble vivre un rêve en votre présence. Je dois avouer que je suis fier de vous connaitre madame, et que aller un peu plus loin, ici dans ce lieu, ne me dérangerait aucunement..."

Les deux visages s'éloignèrent à une distance convenable, alors que le sourire amical qu'il avait vu pendant le début de leur rencontre, s'effaça pour se fendre en deux, pour devenir un sourire plaisant à regarder, celui qui exprimait toute la provocation, et le désir de la jeune femme qu'elle avait pour lui. Maki était tout le contraire étant charmant, gentil garçon, sympathique, assez réservé, ainsi que travailleur, même s'il pouvait s'avérer charmeur quand il s'agissait d'aborder une belle femme. Il avait peur du fameux non, et se contentait de rougir en pensant à elle. Continuant de la contempler, il la fixa quand elle posa sa tête sur le rebord du canapé français, en la dévisageant tellement qu'elle était charmante et approcha ses lèvres peu à peu, en apercevant ses jambes revenir vers elle, ce qui s'avérait très surprenant, car elle exposait la beauté de ses jambes et de ses cuisses devant son regard médusé qui n'attendait que ça. Fixant les cuisses de la jeune femme, il entendit un léger gémissement d'hésitation et releva la tête en étant à nouveau captivé par une partie du corps de la vampire, sa poitrine. Les deux seins furent pressés par ses jambes, ce qui rendait la scène tellement excitante, que son gland fut pris de plusieurs douleurs ainsi que de plaisir, qui fit gémir doucement une première fois l'adolescent qui fixait cette scène, meilleure que tout les magazines érotiques pouvaient offrir à un vieux pervers. L'air enfantin qu'avait pris la jeune femme lui donnait une seule envie celle de l'embrasser ce qu'il ferait sans tarder en continuant d'approcher ses lèvres des siennes, mais il s'arrêta en attendant qu'elle reprenne la parole pour qu'il poursuive son périple. Enfin le moment tant attendu se produisit, elle ouvrit sa bouche afin de lui demander une question, et lui fit qu'il allait la prendre pour une idiote, ce qui était totalement faux, donc il s'approcha d'elle jusqu'à lui répondre en posant ses lèvres sur le coin des siennes. Il prit enfin la parole d'une voix assez fière, car il était sur de lui, même si ses tremblements ne le faisaient pas croire et lui rétorqua en finissant sa phrase...

" Je vous chérirai comme une femme le mérite, et je vous donnerai tout ce qu'il vous faut, afin que votre bonheur soit éternel ma chère. J'aimerai beaucoup vous prendre dans mes bras, et que vous blottissez votre tête contre mon torse et que vous vous servez de moi comme bouclier."

Il continua de l'embrasser en rougissant et en fermant les yeux, avant de reculer brusquement en s'excusant, se demandant ce que la vampire lui ferait si elle était rancunière...

**o° Vampire °o** Nombre de messages : 7 Age : 32 Inscription : 07/07/2009

Les soupçons que notre amie la vampire avait furent bien vite prouvés, Maki était raide dingue d'elle. Les tremblements presque imperceptibles de sa voix, la fugacité de son regard, les pulsations de son cœur.... Tout indiquait à Waruko qu'une fois encore son charme avait fait son œuvre. Après tout, il ne pouvait en être autrement : si la jeune femme parvenait à faire succomber les cœurs et corps inertes de ses camarades les vampires -dont les perceptions étaient également exacerbées- il paraissait évident que de simples humains ne pouvaient que céder à leur tour. Ce qui ne voulait pas dire qu'elle n'accordait pas à son jeune ami une importance particulière. Surtout lorsque ce dernier s'amusait à mordiller son oreille, ou à laisser son souffre brûlant traîner sur sa peau gelée. A croire qu'il cherchait la mort, ce type ? En plus, au vue des confessions qu'il lui faisait... Quel humain pouvait bien avoir l'envie de risquer sa propre vie dans des ébats enflammés avec un être aussi vil qu'un vampire ?

Moue presque choquée, Waruko ne bougea pas son visage. Beaucoup de choses se déroulaient en peu de temps, et les événements prenaient une tournure difficilement contrôlable. En effet, l'enfant du démon n'était pas particulièrement certaine de vouloir mener ce jeu à son terme... Non pas que le prix à la clé n'était pas intéressant ; mais il fallait reconnaître qu'elle pourrait blesser, voire tuer ce pauvre inconscient. Ce qui serait dommage. Attendant patiemment la réponse qu'elle avait toutefois posé, elle frémit lorsque le visage du jeune Maki fut très proche du sien, lorsque ses lèvres chaudes, charnues se collèrent à la commissure des siennes. L'irrésistible jeune femme entrouvrit les lèvres, au bord de la folie. Ses yeux d'un bleu pur se fixèrent presque contre sa volonté sur la délicieuse ligne de cou de son compagnon. Elle sentait le souffle de ce dernier s'évaser sur ses joues légèrement rosies par le maquillage, elle sentait le liquide vitale circuler sous les yeux. Comme un appel irrésistible, elle posa sa main blafarde sur l'épaule fine mais bien dessinée de son compagnon de fortune, la pressant très légèrement.

Bien qu'il semblât quelque peu... Perturbé, maladroit, l'enfant du démon quand à elle se croyait au bord de la folie. Sa cervelle faisait défiler les idées, les scénarios à une allure folle. Que se passerait-elle si elle ne résistait pas maintenant ? Serait-elle assez forte pour ne pas céder à la sensation de coller ses lèvres purpurines contre sa gorge, de savourer le goût délicat de sa peau, de boire lentement le sang chaud qui jaillirait de ses veines...? Se fut à son tour d'entrouvrir la bouche, prise de légers tremblements. Elle reprit son souffle juste avant que le bon Maki ne se décide à lier ses lèvres aux siennes. Une explosion de saveur qui mena la jeune femme à une torpeur sans nul doute inimaginable. Un contact unissant vie et mort, un contact inimaginable. Le goût de ses lèvres était légèrement sucré, et le geste en lui même trahissait une douceur dont la belle demoiselle n'aurait certainement pas soupçonné l'existence. Et de son côté, que ressentait-il, à embrasser des lèvres aussi froides que la blanche neige ?

Elle n'eut pas le temps de poursuivre son raisonnement puisque Maki rompit ce contact vivement, bafouillant quelques maladroites excuses. Le regard de la jeune femme était rivé sur de petites perles de sueur qui dévalaient le long de la nuque du pauvre humain, et c'était bien tout ce qu'elle était capable de faire. Ses lèvres étaient toujours légèrement ouvertes, et, lentement, ses yeux surprenants se plongèrent dans ceux de l'inopportun. Elle s'approcha de lui, aussi gracieuse que le lui permettait son statut de vampire, puis glissa son autre main sur l'ottomane, à côté de l'épaule de son compagnon. Elle mena son visage jusqu'à sa joue, huma l'odeur singulière de sa peau, puis, doucement, continua sa progression jusqu'à sa gorge, sa si charmante gorge. Elle fit glisser sa main, alors posée sur son épaule, jusqu'à cette nuque, doucement, se brûlant presque à ce moment là, puis acheva sa course sur son menton finement dessiné. Elle s'écarta à nouveau, tandis que sa mâchoire tremblotait. A cet instant, et malgré son habileté à penser, mener les plans, les jeux, les tentatives, elle était perdue. D'un côté ses lèvres et ce minois charmant, de l'autre ces pulsations de vie qui ne faisaient qu'appeler la belle à se nourrir.

« Et bien... » Commença-t-elle en un murmure presque inaudible.... « Ce n'est pas que je sois contre, mais vous courrez un grand danger. »

La fin de sa phrase avait été lâché d'un ton neutre. En fait, la diablesse qu'elle était venait de réaliser qu'elle se moquait éperdument de ce qu'il pouvait arriver. Maintenant, de toute façon, il l'avait cherché, attisé, et elle brûlait d'impatience. Il ne pouvait pas se défiler. En quelques secondes -peut être aurait-elle pu faire attention à ne pas se déplacer si vite ?- elle s'était installée sur les genoux du jeune homme, l'enlaçant de ses bras fins. Elle maintenait sa tête contre sa poitrine, percevant ainsi clairement sa chaleur, chaque frissons qui le parcourait. Elle le redressa -sans difficulté- et blottit son visage contre son torse. Elle ferma les yeux, se laissant bercer par les palpitations puissantes de Maki. Et puis, en bougeant légèrement, elle sentit ce qu'il ne fallait pas entre ses jambes. Cette légère bosse qui au final voulait tout dire. Elle se crispa légèrement, et, à bout de nerf, déboutonna le col de sa chemise... pour sucer doucement la peau sucrée à la base de son cou. Elle remonta doucement ces accolades, traînant peut être un peu trop longuement sur sa gorge, pour s'arrêter à son oreille -qu'elle mordilla très légèrement, au passage.

« Maki. » Sa voix était sans appel mais terriblement douce. « Vous devez avoir peur, parce que... » Sa voix baissait encore en tonalité, puis elle finit par lui souffler au creux de l'oreille, aussi chaleureusement que si elle lui dévoilait des mots d'amour « Je suis un vampire. »

Une fois cette confession faite, elle éloigna son visage à une distance plus respectable, sondant du regard les réactions possibles du jeune garçon. De toute façon, elle ne le laisserait pas partir, il en était hors de question. Surement pas après qu'il ait enflammé ses sens de la sorte. Elle caressa doucement son visage fin, tandis qu'elle s'installait plus confortablement. Non, il était hors de question qu'elle le laisse filer entre ses doigts, comme ça. Elle approcha son minois très près de celui de son jeune ami, jusqu'à ce que ses lèvres frôlent celles, fines, de ce dernier. Elle fit alors courir sa main le long de sa gorge, jusqu'à ce qu'elle pénètre sous sa chemise, prenant place au dessus de son coeur. Elle plongea son regard dans celui visiblement légèrement perturbé de Maki, le pauvre inconscient qui avait aujourd'hui même tenté le diable, l'enfant du démon.

« Suis-je si effrayante que ça, pour que vous sombriez dans un tel mutisme ; Maki ? »

Sans plus attendre, elle unit à son tour ses lèvres aux siennes, goutant à nouveau cette saveur ineffable, ce mélange de vie et de sucre, de douceur et de chaleur. Et puis, sans trop savoir pourquoi, elle s'abandonna. Elle ferma les yeux, se laissa à aller à cette découverte sensorielle, même si l'envie de plonger ses dents dans cette peau ferme et brûlante la tenaillait. Toutes les envies se mélangeaient, la rendant complètement folle. Mais ce n'était pas si grave, du moins pour le moment.

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Comment ne pas tomber raide dingue d'une fille qui possède des yeux de saphir, une peau aussi pâle et lumineuse que la lune, des lèvres pourpres bien dessinées, ainsi que d'un visage angélique à faire tomber amoureux tout les garçons de l'établissement. Son charme, était comme celui d'un serpent qui hypnotisait grâce à sa beauté puis s'enroulait autour de sa victime pour en faire son repas, ce qui lui donnait froid dans le dos. Maki ne voulait pas mourir avant de connaitre l'amour, ce qui était le cas, car s'il pouvait toucher la jeune femme avec pour échange sa mort, cela ne le dérangerait aucunement, qu'importe la race dont elle est issue. Peut être qu'il risquait la mort en essayant de faire l'amour avec une vampire aussi belle, et aussi manipulatrice, mais cela était le dernier de ses soucis, car il voulait se livrer à un jeu charnel avec elle qui possédait un corps si beau qu'il semblait tiré des magazines de top modèle. Vu la moue choquée qui illustra son visage, il se demanda si il avait bien fait de lui faire confiance, car l'amour qu'il lui portait ne semblait pas du tout réciproque, évènement fâcheux, surtout qu'il ne savait pas que quand les vampires n'aimaient pas, il se contentait de s'en faire une victime dans une morsure certes sensuelle, mais douloureuse car se faire vider de son sang n'est jamais agréable. Voyant qu'elle n'esquissait aucun geste, il se demanda s'il n'avait pas fait une erreur en l'abordant et plongea la pièce dans un silence insoutenable en émettant aucune parole. Néanmoins, elle répondit quand même à son baiser en ouvrant ses lèvres aux siennes, ce qui lui donna un peu de bonheur dans sa vie qui devenait monotone à force de rester seul.

Malheureusement, ce baiser fut de courte durée, car elle posa sa main sur son épaule pour faire un geste de pincement, qui le fit reculer légèrement, car elle n'était pas du genre à s'offrir au premier venu, ce qu'il comprenait. Continuant à la fixer, il remarqua que ses yeux azurés fixaient la peau douce de son cou, ce qui était surprenant, car si elle tombait amoureuse de son cou, à la place de son visage, cela pouvait être fort contrariant. Le simple fait d'imaginer la jeune femme être une vampire lui donna la nausée, car il les avait toujours hais, et voilà qu'il se trouvait devant une femme aussi belle, qui en était une, même si il s'en doutait légèrement vu qu'elle possédait une peau blanche et froide, semblable à de la neige. Toujours aussi calme mais maladroit, il comprit qu'il faisait l'effet inverse à la vampire, car ses prunelles étaient teintés de folie, ce qui était inquiétant, puis il lui jeta un regard provoquant en voyant l'effet que ça lui procurait, même si cela ne serait que de rajouter l'huile sur le feu, il voulait absolument qu'elle l'embrasse avec de l'amour, de la passion et du désir à son égard. Il ne voulait pas qu'elle se contente de lui en guise de repas, mais comme un amoureux qu'elle aimerait, afin qu'ils vivent tout les deux dans la passion au véritable terme. Le corps de Maki arrêta d'être la cible de ses convulsions, ce qui le fit sourire car son sentiment d'amour extrême venait de s'être arrêter pour être transmis à la vampire qui trembla à son tour, et lui donna une apparence bien plus fragile, autant qu'une poupée de porcelaine.

Cette jeune fille qui tremblait lui donna envie de l'embrasser, donc c'est tout naturellement qu'il le fit dans la douceur, avant de sentir un froid glacé parcourir sa gorge, ce qui rendit la situation assez coquasse car embrasser une vampire n'était pas facile psychologiquement mais la voir trembler ainsi l'avait forcé à le faire. Continuant de l'embrasser avec passion, grâce à son béguin, les lèvres sans vie de sa partenaire était tout simplement tendre, ce qui le fit reculer légèrement car il avait l'impression d'embrasser une cadavre, mais la peur était dans le fait qu'il appréciait ça. Quand il l'interrompit, il sentit un regard pénétrant le fixer tout au long de la nuque, sensation très désagréable, car il avait l'impression 'être épier par un animal qui n'attendait que un de ses pas pour s'attaquer à lui, mais le bras de Waruko qui se positionna sur le bord du canapé le raisonna et le fit la regarder, tandis que les perles de sueur devinrent glacés au contact de cette peau à la froideur extrême. C'est à ce moment précis qu'il sentit la main qui s'était posée sur son épaule se balader sur sa nuque, ce qui expliqua cette délicate sensation, ainsi que cette subite approche qu'elle exécuta sous ses yeux ébahis, car imaginer un corps de cette beauté s'approcher du sien était un honneur pour le fils de musicien. Comme si ce n'était pas assez pour les tripes du lycéen, elle approcha son nez à son tour prêt de sa joue pour respirer l'odeur de la lavande qui émanait de son corps. Monsieur Kururugi ferma les yeux pour apprécier ce moment de tendresse passé avec elle et sentit la main froide de sa belle se glisser sous son menton ce qui lui donna des picotements agréables à sentir, et écouta avec une certaine curiosité ce qu'elle avait à dire, car elle disait qu'il était en danger, mais de quoi ? Depuis quand des caresses entre deux races pouvaient elles être dangereuses ?

" Waruko... Je ne vois pas de quel danger vous voulez parler... A part si vous avez quelque chose qui vous empêche de gouter au plaisir de la chair jusqu'à ce que vous trouvez un mari... "

Maki ne reconnaissait plus son interlocutrice car de l'être passionné et fragile, elle était devenue froide, neutre, comme si les sentiments qu'elle possédait s'était volatilisée pour ne laisser libre qu'à sa faim. Il suffit de seulement quelques secondes pour que la belle demoiselle aux yeux couleur de l'océan ne se mette sur ses genoux, ce qui n'arrangea rien à son érection déjà au sommet, puis il sentit les deux bras glacés se placer autour de sa nuque, provoquant un enlacement excitant, alors qu'il pouvait enfin sentir la poitrine douce de sa partenaire, à la fois opulente et bien présentée contre sa joue. Après ce câlin assez excitant, il sentit la jeune femme reprendre le même comportement que tout à l'heure, celui de la jeune fille fragile qui se blottis contre son torse après l'avoir adressé, donc il plaça une de ses mains prêt de son épaule pour lui caresser attentivement, avec beaucoup de tendresse, et sentit le visage de la jeune femme remonter ses suçons, ce qui commençait à l'inquiéter car ce comportement ressemblait plus à celui d'une vampire qu'à un humain. La voyant fermer les yeux, il fut surpris qu'elle soit aussi câline, et continua de la serrer dans ses bras, avant de sentir des canines bien trop aiguisées mordiller son oreille, bien trop à son gout, ce qui expliqua la réaction du jeune homme qui était celle passive, et non étonnée.

" Mademoiselle Shizumi... Je sais très bien que vous êtes une vampire...dés le premier contact corporel à vrai dire...mais si je dois mourir...je le serai heureux..."

Malgré ça, il resta quand même assez surprit de l'apprendre, car si on lui avait dit qu'il serait tombé amoureux d'une personne de cette race, il ne l'aurait certainement jamais cru. Continuant à plonger son regard dans le sien, il se laissa effleurer ses lèvres par la jolie femme à la robe satin qui prenait ses aises sur le corps du jeune homme. Les doigts fins et gelés de la sangsue se placèrent sur son visage pour effleurer sa peau chaude, comme si elle quémandait de chaleur, chose étonnante, car il pensait que les vampires se désintégraient en une poussière de souffre si un rayon de chaleur ou de lumière les effleuraient. La main, placée sous le menton descendit le long de sa gorge pour se placer sur sa poitrine, afin de sentir les palpitations de son cœur, alors que l'expression amusé de Kururugi avait disparu pour être remplacé par le néant. La vampire semblait apprécier sa victime, ou plutot son repas de la soirée vu comment elle le dévorait déjà du regard, tandis que lui décida d'en profiter pendant qu'elle lui posa une question pour poser sa main sur son sein droit qu'il commença à malaxer en rougissant, car c'était une sensation agréable, assez étrange, vu qu'il était puceau, et sain de toute impureté. Sa question lui redonna le sourire, puis il approcha ses lèvres de son oreille pour lui dire dans un chuchotement:

" Ce n'est pas vous qui est effrayante, mais vous êtes tellement magnifique que même une personne qui a perdu l'usage de ses yeux vous sentiraient. Tellement que vous êtes magnifique, j'ai la forte envie de vous faire l'amour jusqu'à ce que vous glissez vos canines pour que me donniez la mort, et moi ma vie..."

Waruko semblait vraiment amoureuse pour l'embrasser de cette manière, semblable à leur baiser d'il y a quelques minutes, car elle semblait bien plus attirée par la chaleur de ses lèvres que par celle de son sang, ce qui montrait que la vampire pouvait résister à ses pulsions animales. Sa main continua à lui malaxer sa poitrine et il ferma ses lourdes paupières pour apprécier le plaisir qu'elle lui donna en s'abandonnant à lui. Il enleva sa main de sa poitrine, et placa ses deux mains sur son dos pour la garder contre lui, en lui caressant la peau au passage...

**o° Vampire °o** Nombre de messages : 7 Age : 32 Inscription : 07/07/2009

Pour un simple humain, le jeune Maki avait beaucoup de courage, et Waruko fut bien ravi de le découvrir. Jamais au cours de son existence elle n'avait eu la chance de rencontrer quelqu'un de cette trempe, quelqu'un qui osait lui faire face, la traiter d'égal à égal. Bien sur, en temps normal, elle aurait été incroyablement outré qu'un humain se mesure à elle, et elle l'aurait probablement réduit à néant en quelques secondes. Mais là, présentement, les choses étaient différentes. Pour qu'elle satisfasse ses désirs charnels, le jeune garçon était prêt à lui offrir sa vie. Un peu extrême comme échange, mais s'il reconnaissait les dangers, elle ne voyait pas pourquoi elle se retiendrait plus longuement. Elle plongea avec intérêt son regard dans les pupilles noisettes de son jeune interlocuteur, se concentrant lentement pour chasser de son esprit cette envie inexplicable de s'abreuver.

Tellement concentrée,d'ailleurs, que l'enfant du démon émit un léger gémissement et se raidit quelque peur lorsqu'elle ressentit la main brûlante de l'élève pétrir avec tendresse son sein, lui révélant au même instants de manière très explicite les désirs qui le brûlaient... Et dont elle avait pleinement conscience aux vues de ce qui se dressaient sous ses cuisses nues. Elle observa ses yeux se fermer, ses lèvres charnues s'entrouvrir tandis qu'il respirait avec difficulté, comme s'il était ballotté par la force de ses pulsions. D'une certaine manière, ils étaient semblables... Tiraillés entre des désirs ambivalents... Pour lui, une certaine peur face à la mort mais en même temps ce désir inexplicable de l'aimer, et elle, cette crainte de le tuer et cette même passion. Ah, tout ça n'était pas simple. Elle ferma à son tour les yeux, de plus en plus excitée par ce « massage » qu'il lui appliquait.

Et puis, sans crier gare, le jeune Maki cessa toute activités. Elle ouvrit ses yeux avec stupeur, croisant le regard incroyablement mielleux de son compagnon, et comprit où il voulait en venir. De ses bras musclés, vivants, il l'avait encerclé, rapproché contre lui. Sa main, toujours aussi brûlante, parcourait son échine lentement, comme s'il cherchait à ranimer, à réchauffer cette peau d'une froideur irréelle. Captive entre ses bras, Waruko se sentait à nouveau en proie face à ses pulsions. Les caresses que son jeune ami lui appliquait étaient certes agréables, mais pas suffisantes pour la détourner de ses pulsations qu'elle sentait battre, aux creux de son oreille. Sans vraiment le vouloir, ses yeux cristallins s'axèrent à nouveau sur la jugulaire palpitante du jeune humain, et, presque inconsciemment, elle se mordit la lèvre inférieure. Elle se cambra légèrement en avant, embrassa avec une douceur mesurée cette peau tendre, savoureuse... Puis se détourna brusquement. Il ne fallait pas.

« Maki. » Sa voix était sans appel, presque autoritaire. Elle fronça les sourcils, voulant être absolument certaine qu'il l'écoute. « Je ne veux absolument pas vous voir mourir entre mes bras... » Elle marqua un court silence, tandis qu'il cessait de caresser son échine. Elle frissonna, comme si l'air ambiant venait de la mordre, de la geler une nouvelle fois. « J'en serais bien trop peinée... »

Sans aucune gêne, elle fit tomber de ses épaules blanches l'épais châle, qui tomba sur le sol dans un bruissement sonore. Elle saisit une des mains douce et chaude du jeune garçon pour la conduire contre sa gorge marmoréenne, puis, joueuse, saisit son autre main, inerte. Elle ferma les yeux, visiblement un peu timide, puis, comme si c'était naturel, elle guida les membres dextres de Maki sur son propre corps. Elle lui fit découvrir la douceur de sa gorge, la rondeur de son opulente poitrine, la finesse de son ventre, la fermeté de ses cuisses légèrement tiédies, et la musculature de son dos. Et puis, une fois qu'elle eut finit de lui faire découvrir ce corps qui lui était toujours à moitié inaccessible, elle abandonna une de ses mains, bien vivante, sur sa cuisse. Elle serra l'autre, tandis qu'elle embrassa avec passion les lèvres tremblotantes du jeune Kururugi.

« Malgré ma volonté, je risque de céder à cette pulsion que je ne puis contrôler si... Vous ne me divertissez pas convenablement. » Sa voix était morte en un murmure à peine audible. « Alors, s'il vous plaît, répondez à mes désirs en satisfaisant les vôtres avec le plus d'ardeur et de passion dont vous êtes capables... » Elle lui sourit, presque machiavélique. « Sinon, je ne répondrai plus de rien. »

Provocante ? Waruko ? Non, ce n'était absolument pas son genre. Elle aimait juste se sentir convoitée, admirée.. Par tous. Et surtout par ceux qu'elle aimait particulièrement... Comme ce jeune humain, absolument fascinant. Exaucer ses désirs...? Evidemment, puisqu'elle accomplirait également les siens. Séductrice dans l'âme, la jeune femme se redressa doucement, adressant à Maki une œillade suggestive. A genoux, elle s'était séparée momentanément de tout contact avec lui... Juste pour le ravissement des yeux... Elle mordilla son oreille, puis, avec langueur, saisit les pans déjà bien courts dans sa robe. Ondulant ses fines hanches, elle fit rouler sur son corps d'une rare perfection le vêtement, qu'elle jeta au sol, à côté de son châle. Elle s'amusa du regard captivé que lui adressait sa victime, visiblement charmé au plus profond de son être.

En même temps, comment aurait-il pu résister, en la voyant ainsi, en sous-vêtements ? Et puis.. Il avait eu de la chance de se faire séduire par la splendide Waruko qui aimait plus que tout les vêtements, l'apparence, le charme. Sous ses grandes chaussettes rayées étaient cachées des bas résilles rouges, agrémentés de dentelles... Et même soutenus par un porte-jarretelles aussi rouge que les bas, qui contrastait à merveille avec ses yeux d'un bleu océan. Son soutien-gorge et son son boxer, légèrement transparents, étaient eux aussi travaillés avec minutie : de la dentelle vaporeuse et rouge s'élevait ça et là, sur les bretelles, au niveau de ses hanches saillantes... Un plaisir pour les yeux.

Alors qu'un large sourire animait les traits de la vampire, satisfaite mais toutefois impatiente, cette dernière reprit place sur les genoux de son compagnon. Elle sentit à nouveau, sous ses cuisses, cette bosse révélatrice, cette chaleur qui la réconfortait. Elle glissa à nouveau la main de son ami sur sa cuisse tandis qu'elle commençait son effeuillage. Elle déboutonna les premiers boutons de sa chemise... Jusqu'à ce qu'elle soit complètement ouverte. A son tour, elle encercla de ses bras le pauvre prisonnier, puis se cambra doucement en avant, une idée traversant son esprit malveillant et meurtri. Elle embrassa avec une sincère tendresse les lèvres sucrées de son amant, puis, après un certain laps de temps, se dégagea de cette accolade. Elle glissa ses lèvres charnues et rougies sur sa mâchoire masculine, descendis jusqu'à son cou, qu'elle mordilla un peu trop longuement, et peut être un peu trop fortement, puis descendit encore, s'amusant à lécher les boutons de chairs roses qui se dressaient sur le torse sculpturale de Maki. Enfin, elle descendit davantage, introduisit une langue mutine dans le nombril de sa victime, tremblotante.

« S'il te plaît... Fais-moi rêver. »

Plus que de rapports charnels, Waruko venait de faire part du rêve qui lui était le plus cher : celui d'être aimé, sincèrement par quelqu'un. Elle releva vers le jeune homme un regard presque suppliant, oubliant d'un clin d'oeil que, quelques instants plus tôt, elle avait failli le mordre, qu'elle l'avait clairement échauffé. L'enfant du démon, admiré de tous et haït pas chacun était d'une ambivalence rare... Mais souffrait toutefois de ne pouvoir s'attacher sincèrement à personne. Elle le voulait lui, parce qu'il l'avait défié, parce qu'il avait ses propres volontés, et qu'il était prêt à faire des sacrifices. Peut être un jour serait-elle lassée de cet individu, mais pour le moment... Elle le trouvait bien suffisamment intelligent et intéressant pour veiller sur lui... Et puis ; elle n'en pouvait plus, elle non plus, d'attendre qu'il se passe quelque chose entre eux.

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Le courage ? Bien sur que Maki en avait, comme toutes les personnes masculines qui composaient sa famille, malgré que les personnes concernées ne soient jamais entrés dans un domaine militaire, mais musical. La chance, Maki en possédait aussi beaucoup, car pour la première fois de sa vie, il était tombé sur un être mystique, qui n'était pas avide de son sang, même si visiblement elle avait du mal à retenir ses pulsions avec beaucoup de difficulté, elle allait contre la nature même de son existence, ce qui le fit pas mal rougir car elle faisait tout ses efforts pour lui, et lui seul. Son regard océan fixait ses prunelles au plus profond de son regard, le faisant ainsi doucement rougir, car c'était agréable de sentir les yeux d'une si belle femme sur son corps, alors que les deux adolescents se connaissaient à peine. Complètement perdu dans ses yeux enivrants, il ne put s'empêcher de glisser sa main sur son ballon de chair droit assez opulent pour le masser avec charme, et beaucoup de délicatesse en utilisant des gestes gracieux, composés de pincement au niveau des phalanges. La jeune femme aux canines acérées sembla surprise de son geste, car elle laissa échapper de ses lèvres cramoisies étonnamment douces, un gémissement assez poussé, qui le fit sourire d'un air gêner. Tout le corps de Waruko devint immobile à son malaxement assez soudain et bestial, dont il comprit simultanément à son geste qu'elle ne s'y était pas attendue de quelconque façon, et que les fortes poitrines comme les siennes en plus d'être attirantes, se révélaient fort sensibles.

Son membre, situé entre ses deux jambes n'avaient pas attendus pour se gonfler de sang sous la présence de cette femme, dans une position assez charnelle qui l'excitait beaucoup avec son décolleté, et la présence de ses jarretelles qui ornaient ses cuisses si douces que le simple fait de l'effleurer, donnait de la peur au lycéen qui avait peur de les briser avec son comportement. Sa peau assez pâle et de couleur crème, semblait être aussi fragile que de la porcelaine. L'excitation montait aussi bien chez l'un que l'autre, car les massages et les différentes vues qu'ils s'offraient naturellement ne rendaient que bien les passages qu'ils passaient ensemble, comme deux amants qui se retrouvent entre deux rendez vous. Maki était prêt à tout pour prouver son amour à la jeune femme, même à mourir si elle le voulait, mais en échange, il voulait simplement passer une nuit avec elle, où il pourrait faire ce qu'il veut de son corps, ainsi que exprimer ses envies, et son désir pour cet être semblable à la beauté d'une poupée, soigneusement enveloppée dans du papier journal qu'était ses bras qui l'enlaçaient amoureux. Il rouvrit faiblement les yeux, pour remarquer que ses paupières étaient closes, et que sa bouche haletait de l'air, pour ne pas étouffer sous le désir qui l'envahissait. Maki arrêta donc son massage en rougissant sans rien dire néanmoins.

L'adolescent à l'apparence très soignée et feutrée remarqua qu'elle avait réouvert ses yeux de surprise, et qu'elle ne semblait pas apprécier l'enlacement à première vue, ce qui le fit s'empourprer faiblement de peur qu'elle le tue pour pas avoir continué. La main gauche du charmant lycéen à l'allure de prince, continua de descendre sa main, le long de sa colonne vertébrale en étant toujours empourpré, pour lui faire comprendre qu'il la voulait contre lui, tandis que sa poitrine assez grosse se comprima contre son torse, le faisant ainsi bégayer légèrement tellement que la situation était intense en émotions. D'une manière convenable, il commença à défaire lentement les attaches de sa robe, avant de remarquer qu'elle se mordit d'une manière inconsciente la lèvre inférieure. Le rythme cardiaque de l'étudiant ne put s'empêcher d'accélérer sous la pression qu'elle fit grâce à son charme inhumain, surtout que son baiser déposé sur ses lèvres n'avait rien arrangé du tout à la situation. La jeune femme se détourna après avoir embrassé son cou, puis entendit ensuite quelque chose qui n'arrangeait rien à son sentiment de crainte, mais il fut rassuré de savoir qu'elle était bien plus attachée qu'elle lui faisait croire car ce qu'elle prononça pouvait être pris comme une déclaration amoureuse. Elle fronça les sourcils en disant cela, ce qui lui donna un sourire satisfait, donc il s'empressa de lui poser un baiser sur son cou avant de lui murmurer à l'oreille:

" Si je dois mourir, je le ferais pour toi ma chère. Je vous aimez vampire, et je veux simplement vous faire l'amour une fois ou plus, si ton instinct de chasseuse me laisse faire. Je serai aussi peiné de mourir sans vous avoir comblés, donc continuons les choses...Je t'aime...Waruko..."

Il arrêta ses caresses après avoir dit ceci, très gêner d'une si subite déclaration faites à l'improviste, sans préparation, ce qui le rendit mal à l'aise, et augmenta la chaleur corporelle radicalement, car sa peau était devenu aussi chaud qu'une poêle sur un four. La femme suceuse de sang n'hésita pas à faire tomber lourdement sur le sol, l'espèce de fourrure qui gardait ses épaules baignée dans la chaleur. Maintenant, il pouvait voir entièrement le haut de son buste, malgré la présence de sa robe, ce qui le fit rougir, car elle n'hésitait pas à se déshabiller sous ses yeux, alors que lui restait tranquillement dans son coin, terrifié à l'idée de toucher une si belle femme. Heureusement, mademoiselle Shizumi s'empara de ses mains doucement pour lui faire toucher la peau de son cou avec ses mains, puis il descendit ses mains accompagnée de celle de la vampire pour caresser dans toute leur rondeur, sa poitrine qui était une des plus belles qu'il avait jamais vu. Puis, il continua son long voyage, toujours guidé par les doigts de celle qui deviendrait sa petite amie s'il réussissait à survivre en parcourant son ventre à travers le tissu satin de sa robe.

Finalement il atteignit ses cuisses en les caressant à travers le tissu de son porte jarretelle qui épousait parfaitement la forme parfaite de ses jambes, et qui les rendaient bien plus attrayantes, jusqu'à caresser le derrière de cette face si parfaite selon lui. La main de Waruko bloqua la sienne dans son dos n la serrant, et lui laissa celle qu'il avait sur la cuisse, donc il remonta vers son shorty pour le descendre doucement, et glissa sans remord un doigt en elle en rougissant. L'adolescent qui ne pensait qu'à se faire des amis ici, et non une petite amie se laissa embrasser en tremblotant, puis retira sa main en descendant le long de sa jambe. Il ne put s'empêcher de rire en l'entendant dire, car elle semblait le défier en lui demandant s'il se sentait capable de la combler. Même si c'était sa première aventure sexuelle avec une femme, il connaissait toutes les ficelles de la réussite dans ce domaine et lui répondit avec un baiser langoureux, avant de murmurer à l'oreille:

" Je ne suis pas là pour vous divertir, douce créature, mais pour vous comblez. Je répondrai à votre ardeur et à votre culot, en vous faisant l'amour comme on le fait dans ma famille ma chère et tendre petite amie.Vous pouvez être sur que je vous comblerai si nos destins sont liés, sinon je réclame la mort de vos propres "dents"!"

Bien sur que tout le monde la convoitait sur le campus, car elle était belle, intelligente, assez habillée de façon à plaire sexuellement, et plein de qualité, même si elle restait une vampire assoiffée de sang, qui pouvait tuer, seulement pour avoir de la nourriture. La grande séductrice lui adressa un clin d'œil plutôt suggestif sur la suite, ce qui le fit doucement rougir, car c'était gênant de sa part, et se laissa mordre le lobe de l'oreille en rougissant, poussant un petit couinement à cause de la douleur. Subitement, il la vit prendre les pans de sa robe, pour carrément se l'ôter sous son regard fasciné par cette vision que l'on pouvait appeler fantasme, tellement que c'était beau à contempler. Bien sur que cette vue pouvait charmer n'importe quel homme, car déjà que la voir en robe était excitant, la voir en sous vêtement s'avèrerait fort gênant car son tissu pouvait bien craquer, tellement que les affluvements de sang se dirigeaient à une vitesse inouïe dans son sexe, qui commençait à être douloureux à cause de sa captivité dans sa prison de soie. Waruko s'était entièrement déballée sous son regard envieux, entièrement en sous vêtement. Il était émerveillé, comme un gamin à qui l'on venait de donner un bonbon, qu'il déballa pour remarquer qu'il était à son parfum préféré. Il essaya de se rapprocher d'elle, mais fut interrompue par la jeune femme qui s'assit à nouveau sur ses genoux, de la même position que la dernière fois, seulement couverte de ses sous vêtements ornée de quelques dentelles qui embellirent son corps, déjà parfait. Délicatement, il glissa son doigt le plus fin entre sa peau et la bretelle de son soutien gorge pour lui caresser délicatement sa peau avec envie.

Les doigts de Waruko, se mirent à devenir aussi baladeur que ses lèvres, ce qui le fit sourire, car elle déboutonna complètement sa chemise, avec des mouvements rapides, lui faisant garder ce sourire taquin qui hantait ses lèvres jusqu'à se ce sa langue rejoigne à son tour la partie. La vampire semblait avoir lourdement chargée son programme car elle se pencha doucement vers lui pour déposer un baiser tendre sur ses lèvres, qu'il rendit évidemment en sortant sa langue mouillée. La belle vampire à l'apparence aristocratique descendit ses lèvres sur sa joue, sa mâchoire, puis rapidement vers son cou qu'elle mordit avec plus de douleur que de plaisir, pour finalement s'attaquer à ses auréoles qu'elle mordit plus faiblement, jusqu'à ce qu'il sente la langue de sa fiancée se glisser dans son orifice ventral, ce qui le fit rougir fortement car c'était fort agréable. Tellement excité par la situation, il glissa ses mains sur son pantalon pour le faire descendre lentement, puis son caleçon pour faire jaillir du caleçon, son sexe fièrement levé, prêt à être mis en bouche. Le corps qui possédait un si beau visage lui demanda à travers ses lèvres de la faire rêver, ce qui le fit faiblement rougir car elle lui demanda d'un ton implorant de la combler. Il se dépêcha alors de se relever doucement pour la faire s'allonger sur le canapé en lui prenant la main, avant de poser un long baiser langoureux sur ses lèvres, son menton, puis descendit sa langue dans la croupe que ses seins formaient grâce à la présence du sous vêtement, tandis que sa seconde main remonta sa cuisse droite pour la caresser à travers ses bas qui rajoutait de l'excitation à leur jeu.

" Ma chérie...je vais donc...te rendre tout le plaisir que tu m'as donné..."

**o° Vampire °o** Nombre de messages : 7 Age : 32 Inscription : 07/07/2009

Jamais, en se faisant préparer par ses domestiques quelques heures plus tôt, la créature démoniaque aurait pu soupçonner une telle évolution dans sa morne existence. Jamais elle n'aurait pu même simplement soupçonner son air éméché, ainsi allonger contre un ottomane luxueux. Jamais elle n'aurait pu se douter qu'un humain aux manières aristocratiques se serait épris d'elle, et lui aurait même fait baisser ses défenses les plus puissantes. Elle s'était offerte à lui, au double sens du terme. Restait à voir si sa bravoure lui permettrait de rester en vie et surtout, de la satisfaire sur un plan intellectuel et moral. Quoi qu'il en fut, ce n'était actuellement pas les préoccupations de Waruko, qui affichait un sourire intrigué à son amant, qui venait de se montrer particulièrement... Entreprenant.

Les propos qu'il avait tenu, bien qu'ils aient été des plus sincères, détenaient un petit aspect comique, certainement non mesuré. Heureusement pour lui, ses attitudes, le cramoisi qui prenait peu à peu possession de ses joues le rendaient plus que tout attendrissants, et la vile créature ne put se sentir que pleinement satisfaite par ses prévisions. Lui rendre tout le plaisir qu'il lui avait donné, n'est-ce pas...? Elle frissonna lorsque les doigts brûlants du jeune homme parcouraient avec lenteur son ventre plat, glissant sur sa cuisse, frôlant le porte-jarretelles de soie rouge. Elle garda les yeux clos quelques instants, chassant de son esprit brumeux l'obsession infernale de cette peau qui palpitait contre elle. Joueuse, elle se redressa doucement, saisit entre ses doigts fins le visage intimidé de sa jeune victime. Langoureusement, elle unit ses lèvres aux siennes, s'exposant une nouvelle fois à cette explosion de saveur infernale. Tout... Elle voulait tout de lui. Son corps, son âme, son sang.

Il fallait toutefois bien faire des choix, et dans l'immédiat, elle ne voulait absolument pas s'approprier son sang, le vider de toute vitalité... Dans le pire des cas, il paraissait évident qu'elle pourrait rompre les règles, accomplit le serment interdit... Et faire de cette chair à demi-morte un être parfait, aussi livide et brillant que la lune... Un autre vampire. Mais pour le moment, tout ça n'avait aucun sens. L'enfant du mal se raidit doucement sous les quelques caresses de sa bien jeune victime, puis laissa échapper un long soupire d'impatience. Elle se mordit une nouvelle fois la lèvre inférieure, laissant doucement son propre sang couler. Cette odeur, ce goût qui se déversait lentement dans sa bouche menaient doucement son excitation à son paroxysme. Elle n'en pouvait plus d'attendre. Elle rompit tout lien avec l'immobilisme qui s'était emparé d'elle et, à nouveau, ses mains blafardes reprirent l'exploration du corps masculin qui la dominait. Du visage fin et rougit, les doigts fins de la chimère glissèrent sur sa gorge, s'enroulèrent sur les boutons préalablement ouverts de sa chemise – qui fut en quelques instants jetée sur le sol, avec sa robe en satin- pour dévoiler pleinement un torse d'une toute beauté.

Légèrement matte -du moins comparée à la blancheur cadavérique de sa propre peau-, cette peau abritait des muscles légèrement saillants, tout comme une ossature séduisante. Les clavicules du jeune étudiant, symétriques, marquaient au point de leur rencontre une ligne de cou irréprochablement alléchante. Waruko déglutit doucement, tandis qu'elle percevait le bruit du sang monter à la tête de son compagnon. Il était tout aussi fou d'elle, en ce moment. Elle replia doucement ses longues jambes, poussant plus loin encore la provocation : lentement, tandis que l'intérieur de sa cuisse frôlait la peau brûlante de son ventre, elle déposa son mollet fin sur l'épaule finement sculptée de Maki. Lorsqu'il déciderait de s'allonger contre elle, de s'animer pleinement, elle serait bien obligée de changer de position... Mais pour le moment... Les choses n'avaient pas démarré. Une douleur parcourut l'échine de la jeune femme lorsque l'étudiant se risqua à découvrir manuellement l'inimité de la jeune femme. Un simple doigt fut responsable d'un gémissement très audible.

« Je... » Un peu gênée par le bruit qu'elle venait d'émettre, la vampire habituellement si arrogante rosit très légèrement, et se mit à balbutier quelques suppliques incompréhensibles.

La vérité était qu'elle était complètement dépendant des caresses bouillantes qu'il lui appliquait. Se penchant en avant, il réceptionna la cuisse de la jeune femme qui s'était délogée de son épaule, pour la caresser lentement, à travers ses bas rayés.... Tandis que, du bout des lèvres, il embrassait son buste, ses monts de chairs parfaits, fermes, blancs. La tiédeur de sa langue contre sa peau était une sensation beaucoup trop insoutenable, et, en conséquence, un autre -léger cette fois-ci- gémissement s'échappa de ses lèvres purpurines. En traduction de son impatience, Waruko glissa sa main le long du ventre de son amant jusqu'à atteindre les précieux boutons de son pantalon... que son compagnon venait tout juste d'ôter, avec ce qu'il y avait en dessous, d'ailleurs. Rougissante mais absolument pas gênée par la situation, la fourbe créature prit en main le membre turgescent qui n'allait pas tarder à la satisfaire -du moins elle l'espérait- et puis, moue aguicheuse peinte sur le visage, elle entama ses caresses.

Ces légers soupirs qu'ils laissaient passer de temps à autre étaient très stimulant, il fallait l'avouer... mais certainement pas autant que les battements de plus en plus accélérés de son cœur. Waruko ferma les yeux, essayant ainsi vainement de ne se concentrer que sur ce qu'elle faisait subir au petit Maki... Mais cela n'avait pas une grande utilité, vous devez bien vous en douter. Par quel moyen diabolique un vampire pouvait-il espérer tromper ses pulsions lorsqu'on agitait ce dont il se nourrissait sous son nez, mhm ? Elle relâcha sa prise, remontant sa main rapidement à la gorge dénudée et palpitante de son vis-à-vis, caressant doucement sa jugulaire. Elle était en train de s'affronter elle-même. Serait-elle assez forte pour résister à la tentation ?

«Maki... Je n'en peux... Plus. »

Elle n'était pas sure qu'il avait compris... Mais il fallait qu'il agisse rapidement s'il ne voulait pas se retrouver vider de son sang. Comme pour le guider -et pour résister à la tentation du sang frais- elle saisit la main brûlante de son compagnon, la guida jusqu'à son propre bassin, l'incita même à la défeuiller totalement. Ondulant ses hanches telle une sirène nageant dans les eaux claires, l'immortelle aristocrate se défit du vêtement qui cachait pleinement son intimité. Restait à voir comment le jeune humain, si téméraire, aller s'y prendre maintenant. Elle était prête à l'accueillir en elle -et d'ailleurs elle écartait très lentement ses cuisses marmoréennes- mais craignait de ne pas pouvoir résister aux appels de son cœur.

Nombre de messages : 9 Age : 41 Inscription : 15/07/2009

Maki ne s'attendait pas à ce que en regardant juste un spectacle que lui offrait les aurores polaires, il se retrouverait dans cette situation délicate avec une femme aussi belle, habillée dans une telle tenue. Le bel adolescent à l'allure aristocratique n'aurait jamais imaginé coucher avec une si belle créature, qu'il aurait attendri en restant soi même. La ravissante droguée de sang afficha un sourire intriguant à son amant, comme si son comportement entreprenant s'avérait fort étonnant venant de sa part. Certes c'était la première fois qu'il agissait avec la volonté de combler sa partenaire au niveau des préliminaires, mais il essayait de faire du mieux qu'il pouvait. La jeune femme à l'apparence de succube se laissa doucement faire avec un sourire amusé de la situation aux lèvres, ce qui le fit s'empourprer un peu plus, car il détestait être ridicule, surtout avec une personne du sexe opposé, avec qui il était en train de faire l'amour. La ravissante locataire des titans garda les paupières closes pendant qu'il déposa tout son savoir sur ses cuisses si douces, que l'on pouvait les comparer à de la soie et sur son estomac qui était tout bonnement faire, comme le reste du corps de la jeune femme qui frôlait la perfection de quelques millimètres.

Waruko prit ensuite son visage entre ses mains, pour le caresser doucement, ce qui le fit sourire car c'était fort agréable, tandis qu'il sentit des millions de boules s' hérisser contre sa peau, montrant que la jeune femme était légèrement excitée par ses mouvements. Il se laissa donc succomber au désir en lui rendant son baiser langoureux après qu'elle se soit redressée, puis glissa sa main sur son sein gauche pour le caresser avec envie et excitation, pour essayer en vain de faire pousser des lèvres pourpres, un cri que l'on pourrait qualifier de gémissement. Le dernier des Kururugi ne voulait pas uniquement une relation d'un soir, mais une relation longue, où romantisme et sexe étaient mêlés pour la durée de leur couple. Un tel corps ne pouvait pas être gouté qu'une seule fois pour en tirer une pleine satisfaction, bien au contraire! Il ferait n'importe quoi pour la revoir plusieurs fois et ainsi connaitre les mécanismes de cet être mi humain, mi monstre.

Malheureusement, devenir un vampire n'enchanterait pas le bien timide humain, qui était content d'être de la sorte, et qui ne voulait pas mordre ses proches, ou bien sa propre famille pour survivre et combler ses pulsions animales. la ravissante femme habillée seulement de ses sous vêtements, le fit devenir écarlate à nouveau, car elle se raidit sous ses caresses et poussa un soupir d'impatience, comme si toutes les caresses qu'il venait d'exécuter avait complètement servi à rien. Tout son savoir au niveau des expériences sexuelles était réduite à l'échec avec elle, donc il ne lui restait qu'une seule chose à faire, innover, et inventer des nouvelles techniques qu'il n'avait jamais pratiqué avec elle, pour la combler, et aussi y trouver du plaisir par la même occasion, sinon les mots "échange charnel" perdrait de tout son sens. Malheureusement, les pulsions de celle qu'il considérait comme une petite amie se firent bientôt de plus en plus visible, car elle n'hésitait pas à se mordre les lèvres sévèrement, pour récolter quelques gouttes de son sang, qu'importe si elle réduisait sa vie en agissant de la sorte, même si les zombies étaient prétendus être des êtres immortels.

Les doigts longs et fins de la jeune femme dévalèrent son cou jusqu'à ce qu'il sente ses mains se positionner sur son torse, ce qui le fit rire doucement car c'était comme des chatouilles, avant de soudainement lui donner un baiser sur ses lèvres en se laissant déshabiller de la sorte. Il fut surpris qu'elle envoie sa chemise assez couteuse exactement à l'endroit où était sa robe auparavant, ce qui le fit rire, avant de se dire qu'elle était vraiment surprenante. Les muscles présents sur le corps du lycéen n'était pas là grâce à l'effort mais grâce à l'apparence athlétique de son paternel, dont il avait hérité sa beauté et son charisme. La vampire semblait beaucoup s'amuser avec le lycéen car elle n'hésita pas à replier ses cuisses en cherchant le contact avec ses côtes qu'elle frôla doucement, n'arrangeant rien du tout à son érection assez imposante. Fou d'elle ? Il l'était complètement et n'avait qu'un seul objectif dans son cerveau, celui de prendre son pied avec elle en lui donnant tellement de plaisir qu'elle ne pourrait plus se lasser des gestes. Lorsque ses doigts franchirent l'interdit en rentrant à l'intérieur du jardin secret de sa partenaire, il ne put s'empêcher de s'empourprer violemment en l'entendant gémir de la sorte. La belle aux yeux saphirs se sentit gêner par son gémissement, qu'elle en rosit faiblement au niveau des joues, ce qui lui donna envie d'y déposer un petit baiser.

Maki n'en avait pas fini avec les deux ballons de chair opulent de sa charmante fiancée, car il continua de glisser sa langue sur sa peau si froide, qu'il en frémit doucement tellement que c'était bon à sentir face à la chaleur torride qui se dégageaient des deux corps en ébullition. La charmante adolescente poussa une nouvelle râle de désir sous ses caresses linguistiques, ce qui le fit doucement sourire d'une lueur taquine car ses anciennes conquêtes n'avaient pas eu ce genre de réaction. La main se déplaça tout le long de son torax, pour se retrouver sur son pantalon qu'elle déboutonna lentement pour s'emparer de son membre, qu'elle prit bien en main, ce qui lui donna quelques frémissements le long de son corps. Le résident des sphinxs poussa des petits cris qui le génèrent faiblement. Soudainement, Kururugi reposa son regard sur son visage et fut surpris de voir qu'elle fermait les yeux, comme si elle s'empêchait de penser à quelque chose, ce qui instaura le doute et la peur dans l'esprit du pauvre adolescent qui se demandait dans combien de temps mourrait il.

Il vit ensuite sa main quitter son sexe, pour se retrouver sur sa propre gorge, à la caresser, ce qui le fit suer de peur, tellement que cela devenait assez froid entre eux deux. Heureusement pour lui, elle se contenta de guider sa main vers son intimité, ce qui le fit comprendre que c'était maintenant qu'il devait rentrer en elle. Il regarda ses mains un peu hésitant, et écarta un peu plus ses cuisses pour essayer de rentrer du mieux qu'il pouvait, son sexe à l'intérieur, ce qu'il parvint à faire sans difficulté. Ses mains se placèrent sans difficulté sur son bassin, ce qui le fit soudainement rougir car cette situation était fort génante. Il fit quelques mouvements de plus en plus violents dans son sexe, pour l'inciter à se calmer plus rapidement qu'il le pensait.

" Très bien..."

» Waruko Shizumi.
» Waruko Shizumi, aussi terrible que somptueuse.